OneRepublic : un show (tres) haut en couleurs no comments

OneRepublic, Zénith de Paris le 27 avril 2022

OneRepublic était – enfin- de retour à Paris. La nouvelle tournée du groupe de pop-rock passait par le Zénith le 27 avril dernier. Un show énergique et très haut en couleurs, comme ce à quoi OneRepublic nous a habitués. Ce mercredi 27 avril 2022, le groupe pop rock OneRepublic faisait son retour en France avec un concert au Zénith de Paris, dans le cadre de sa nouvelle tournée. Une tournée maintes fois reportées pour cause de pandémie mondiale, initialement prévue à l’automne 2020.

Cette tournée, qui suit la sortie de l’album studio Human, avait donc été annoncée il y a longtemps déjà. Et avait été précédée d’une mini-tournée de chauffe, en amont de la sortie de l’album, au printemps 2020. Nous étions d’ailleurs présents au dernier concert donné par OneRepublic avant le Covid, à l’Olympia, le 2 mars 2020. Notre dernier concert si important, en toute insouciance, avant presque deux années de silence.

Un concert donc qui signe les retrouvailles entre OneRepublic et le public français. Avec un groupe très heureux d’être là et des fans ayant répondu présents à l’appel puisque le Zénith était complet. Annoncé pour 21h15, après une première partie assurée par Tom Walker, le show a même un peu d’avance puisque les lumières s’éteignent à 21h14 pour laisser place à un film d’introduction qui reprend les couleurs de l’artwork de l’album Human. Un film en français. Puis le groupe – et ses musiciens pour la tournée – arrive sur scène et démarre avec l’entraînant Kids, issu du précédent album du groupe. Sur scène, un écran géant trône derrière le groupe. Un écran utilisé, au début pour accompagner les titres de différentes images.

Si le retour des images de la scène nous manque au début, il arrivera un peu plus tard dans le concert. Vient ensuite Good Life et ses images urbaines dont la Tour Eiffel. Ryan Tedder, chanteur du groupe, apprécie particulièrement Paris. Il ne cessera de le répéter tout au long de la soirée. Un titre qui termine par – déjà – des cotillons. C’est ensuite le tour du tube All the Right Moves dans une version plus pêchue et énergique que la version studio. Un titre qui se termine en acoustique avec violon et violoncelle, deux instruments signature de la musique de OneRepublic.

Après Stop and Stare, chanson importante pour le groupe, Rescue Me, tube assez récent, résonne. Une chanson accompagnée d’images de la nature. Ryan Tedder danse, rappelant le concert de l’Olympia où il avait invité, sur ce titre, le danseur urbain Salif Gueye. Malgré le rythme de la chanson, ça reste encore assez timide dans le public. Il faudra attendre la 8ème chanson, Love Runs Out – et son intro façon Seven Nation Army – pour que l’audience commence à se lâcher.

Après quoi, Ryan Tedder, également auteur pour de nombreux autres artistes, propose une séquence « On ne fera pas… » pendant laquelle il commence certaines de ses compositions (Bleeding Love, Rumour Has It…) a capella pour un petit extrait avant de proposer Halo et Sucker en intégralité.

Entre ce titre écrit pour Beyoncé et celui pour les Jonas Brothers, il propose notamment Lose Somebody, sa collaboration avec Kygo, ce qui lui permet de raconter le premier concert parisien du groupe. Puis, Ryan Tedder se saisit d’un micro old school pour West Coast. Derrière lui, des images de la Californie sur fond de pellicule défilent. Et c’est pendant Run que Ryan Tedder descend dans le public pour la première fois. Il récupère un drapeau de la France avant de faire quelques vannes sur les One Direction (que des spectateurs auraient confondus avec OneRepublic).

Le groupe profite de ce concert pour proposer un nouveau titre, Sunshine, où Tedder rappe un peu. Vient ensuite le hit Apologize, premier tube de OneRepublic, proposé avec une longue introduction et Ryan Tedder au piano et dans une version réarrangée. Un plaisir prolongé, Tedder ayant l’ambition de nous faire chanter juste la chanson, sur plusieurs tonalités. Le Zénith prend alors des allures de chorale.

Après I Lived et une très courte pause, le rappel intervient avec Counting Stars. LA chanson la plus connue du groupe qui démarre doucement dans le noir avec de s’accélérer tout en étant moins pêchue que des fois. C’est pendant cette chanson que Ryan Tedder décide de traverser la salle et ça devient fou. Les musiciens ont même prévu des ponts musicaux façon flamenco. Encore deux titres et c’est déjà la fin d’un show généreux et très coloré. Plus tard dans la soirée, le groupe postera même sur ses réseaux sociaux qu’il s’agissait du meilleur concert parisien de l’histoire de OneRepublic.

Chronique : Laura Bruneau

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